Un tout petit monde

Aujourd’hui est un jour de répit. Un jour où je n’ai pas de spécifiques envies. Si ! Je raconte n’importe quoi. L’envie de ne rien faire. Pas de cuisine. Pas de net surfin’. Juste de me laisser aller. Juste du temps qui passe profiter. Je suis là, dans un bouquin, le nez plongé. Za m’apporte un thé. Je n’arrive pas à me concentrer sur les mots alignés. Incapable de lire. Incapable d’en éprouver du plaisir. C’est un jour de répit. Un jour où je n’ai pas de spécifiques lubies. Je me laisse aller, un instant… semi allongée, sans aucune velléité. Je suis bien, là, coincée dans les moelleux coussins de mon canapé. Je suis bien là, à ne rien faire, juste à déguster mon thé et à me taire. Puis mon esprit part dans des délires… voilà que je me mets à penser et à réfléchir (sic !). D’un coup, une fringale. Comme un désir impérial. Viennent des réminiscences de drôles de petites bouchées sans conséquence (enfin presque… parce que, apport calorique parlant, c’est tout bonnement tuant). Qu’était-ce déjà ? Je me souviens que c’était à base de chocolat Milka®. Ca n’existe plus depuis longtemps déjà. Cela portait un drôle de nom, réfléchissons. Comic’s… non, Cosmic’s ! M’en fiche, j’en veux, tout de suite, maintenant… enfin, du moins, dans pas longtemps !

Becquées crousti-craquantes au chocolat au lait

Pour quelques becquées…
Du chocolat au lait Milka®
Du sel
Des cacahuètes salées
Des flocons de maïs soufflés

Cela prend deux minutes de préparation, une heure au moins de réfrigération, cela part trop vite en dégustation. Faire fondre le chocolat au bain-marie (peu importe la quantité, il suffira ensuite d’adapter… personnellement, je n’en fais qu’une demi tablette, pour rapidement en croquer puis oublier). Saupoudrer d’une pincée de sel. Mélanger. Incorporer une poignée de cacahuètes (ou plus selon la quantité de chocolat fondu), puis trois poignées de flocons de maïs (ou plus selon… je me répète). Bien mélanger jusqu’à ce que le chocolat recouvre tout. Former des petites boules de mélange et poser sur un papier sulfurisé. Placer au réfrigérateur. Maugréer et pester en attendant que cela se fige. Puis se précipiter…

Il s’agit là d’un petit rien du tout qui trouvera plus d’un adepte malgré tout. Ces petites becquées se croquent à l’envi… Il faut en prévoir beaucoup s’il est pressenti un débarquement d’amis !